La maîtrise des décors. Loin de la réalité de la majorité des hôpitaux français : moderne, clean, clinique. Un monde froid, automatisé. Dans le décor, tout est rangé, répertorié. Ça donne une "patine" qui correspond bien aux références lynchiennes (musique, image…). Ce décor nous emmène ailleurs. C'est ce qui me plaît et qui joue beaucoup dans l'attrait qu'exerce le film sur moi. Idem pour le son : ouvertures vers des ailleurs étranges et inquiétants. La forêt aussi fait penser à Lynch ("Twin Peaks"), comme la musique du générique de fin…
Ce qui m'intéresse ici : l'efficacité de l'entraînement dans un ailleurs…
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