On sent l'énergie de Verhoeven dans tout : les mouvements de caméra, l'esprit souriant du film, les poupées sexuelles qu'il dirige.
Dans cette histoire de cafards "qui ont mangé le cerveau des citoyens", il y a probablement un peu de sa poistion au sein du système hollywoodien.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire