Tout est plus beau, plus tragique, moins BD que dans les trois westerns précédents (au fur et à mesure que l'œuvre de Leone avance, elle est de plus en plus sérieuse, et superbement réussie, jusqu'au magistral "Once upon a time in America").
Et ici, il y a une femme, dans un des rôles principaux. Claudia Cardinale est d'une beauté qui ne peut manquer de marquer tout jeune homme.
Tout prend une ampleur plus lyrique (avec l'aide de la magnifique musique de Morricone), même la ville où elle arrive et où personne ne l'attend…
Une séquence "esprits" jusqu'à l'assassinat du gamin. Le gang aux manteaux = les esprits du mal.
Utilisation du son pour le temps qui passe, notamment dans la scène du début (Zinnemann l'avait fait déjà 16 ans plus tôt dans "High noon").
La musique est souvent en contrepoint de l'image réaliste.
Sur un thème "féminin" de Morricone, des paysages naturels grandioses.
Dans la séquence précédente, le guide "clownesque" rappelle les "tricksters" des fils précédents.
La belle Jill Mac Bain s'introduit dans le bar comme dans une antre de bêtes.
Scène du duel : il part de gros-plans, puis zoom-arrière pour faire découvrir le décor grandiose.
Contrairement à Eastwood dans les autres films, l'arme de Bronson n'est pas intégrée à son corps.
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